Des actions face aux problèmes rencontrés par les populations, rien d’autres. Tel est en substant le message passé par le numéro un gabonais lors d’une séance de travail avec le gouvernement le 29 novembre dernier concernant la gestion des ordures ménagères dans le Grand Libreville.
« Le chef de l’Etat a convoqué les membres du gouvernement pour une séance de travail. Il a fustigé l’insalubrité des principales villes. Si on fait le tour des capitales provinciales, à commencer par la capitale Libreville, c’est un fait incontestable. Le chef de l’Etat a dit : ‘c’est terminé, cela. Il faut que l’on mette de l’ordre. Il faut que les villes capitales soient propres’ », a déclaré au sortir de cette réunion le premier ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda.
Lors de cette réunion, le président de la République a également rappelé la « nécessité de mettre en œuvre un plan d’urgence face à la recrudescence des catastrophes naturelles, notamment les éboulements et les inondations observés dans plusieurs localités du pays », indique un communiqué de la Présidence.
« Les dossiers relatifs à l’éducation, à l’économie et à la santé ont (aussi) été évoqués par le Chef de l’Etat et ses hôtes », renseigne celui-ci.