Ce sont au total 28 arrondissements qui devront prendre part à cette compétition, à savoir, les six arrondissements de Libreville et ceux des neuf capitales provinciales.
Présidant la cérémonie de lancement de ce concours, le ministre d’État à l’Intérieur, Lambert-Noël Matha, a rappelé que cette initiative découle de l’interpellation faite le 12 septembre dernier par le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba à son gouvernement, sur la recherche de solutions durables à la propreté du cadre de vie.
Le membre du gouvernement a instruit à son tour les gouverneurs de provinces à relayer cette volonté auprès des membres des Conseils municipaux, en leur qualité de gestionnaire des villes, et donc de compétiteurs à ce concours.
Le ministre Matha a également pris attache avec les services des Cités et de gouvernements locaux unis d’Afrique (CGLU-Afrique) qui ont une expertise en matière des termes de référence et des critères d’évaluation pour ce type de compétition. Ce qui a donné lieu à définir les modalités de pratique devant encadrer l’organisation de ce concours et également de fixer le prix de l’arrondissement le plus propre en intégrant les termes « vert et résilient »