Madame Erlyne Antonela Ndembet Damas, Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Chargée des Droits de l’Homme, a procédé à la distribution des cadeaux à tous les enfants et des chèques d’un montant de 300 mille francs CFA aux responsables des structures citées.
La cérémonie organisée par le Ministère de la Justice, Garde des Sceaux, sous la coordination de la Direction Générale de la Protection de la Veuve et de l’Orphelin à l’esplanade de l’indépendance, a permis à de centaines d’enfants de recouvrer le sourire à l’occasion de la célébration de la journée de solidarité en faveur des orphelins et enfants vulnérables du Gabon.

«Le chef de l’État Ali Bongo Ondimba a souvent rappelé au Gouvernement de la République, sous l’autorité du Premier ministre, Alain-Claude Bilié-By-Nze, l’urgence d’œuvrer davantage à l’amélioration des conditions de vie et de bien-être de ces personnes vulnérables», a déclaré le ministre de la Justice, garde des sceaux, chargé des droits de l’homme, Erlyne Antonela Ndembet Damas.
En vue de leur permettre de bien célébrer cette journée, le Membre du Gouvernement a procédé à la distribution des cadeaux enfants pensionnaires de des 6 associations centres d’accueil du Grand Libreville. Les structures qui accueillent les orphelins enfants vulnérables ont aussi reçu chacun un chèque d’une valeur de 300 mille francs CFA en guise d’encouragement.
« Ces chèques cadeaux, qui ne sont qu’un encouragement adressé à ces structures qui abattent un travail remarquable au profit de ces enfants, traduisent surtout la volonté de l’Etat de demeurer aux côtés de tous ceux et toutes celles qui ne ménagent aucun effort pour le bien-être de nos enfants », a souligné la ministre.

À cette occasion, elle a rappelé que les lignes dans le combat en vue de la promotion et e la protection des droits de ces derniers.
« Les orphelins et autres enfants vulnérables ont, comme tous les autres enfants, besoin qu’on leur manifeste de l’amour, de l’attention et qu’on prenne soin d’eux pour leur épanouissement intégral. Comme tous les enfants, ils ont besoin que leurs droits soient reconnus par notre Constitution, nos lois et règlements et les conventions internationales auxquelles notre pays est partie, notamment la convention des droits de l’enfant, soient effectivement garantis », a dit Erlyne Antonela Ndembet Damas.
Aux petits, elle a réaffirmé la préoccupation du Gouvernement à leur condition de vie non sans préciser qu’elle entend tout mettre en œuvre pour que celles-ci soient davantage meilleures.