Libéré de prison et rapatrié il y a deux semaine environ, le hacker embauché par Ping lors de la présidentielle de 2016, Yeo Sihifowa, aurait traîné son employeur en justice pour « escroquerie, abus de confiance et non-respect des clauses du contrat ».
L’orage a décidément élu domicile chez le principal candidat malheureux de la dernière élection présidentielle au Gabon. Après la diffusion de fausses informations pour exister, c’est une plainte qui lui serait venu en plein visage, d’après nos confrères de Gabon review qui se fie à un document authentique adressé par les avocats de Yeo Sihifowa au procureur d’Abidjan. Le hacker embauché par Ping en 2016 aurait traduit son employeur en justice pour « escroquerie, abus de confiance et non-respect des clauses du contrat ».
C’est devant le tribunal d’instance d’Abidjan, celui de Libreville, ainsi que devant la Cour africaine des droits de l’Homme que cette plainte a été déposé et le plaignant réclamerait en guise de dédommagement, un montant de 80 millions de francs CFA. Voilà une histoire qui devrait encore faire chuter la crédibilité de Jean Ping auprès de ses quelques soutiens et sympathisants.
À noter qu’après 4 ans passé en prison, le pirate informatique a été rapatrié dans son pays d’origine sans une considération de celui qui l’avait fait venir à des fins anti républicaines.